Celside a renouvelé son opération 170 000 repas
Dans le cadre de son opération « 170 000 repas », Celside a contribué à la lutte contre la précarité alimentaire dans la Loire et en Drôme. En effet, l’assureur compte distribuer 170 000 repas pour venir en aide aux plus démunis, répondant ainsi à l’urgence alimentaire constatée dans le contexte de pandémie.
Lutter contre la précarité alimentaire
C’est en décembre 2020 que Celside s’est engagé, pour la première fois, dans la lutte contre la précarité alimentaire, en faisant un don de 150 000 euros aux associations investis dans ce combat. Un don qui s’est traduit par la distribution de 116 tonnes de nourritures, soit plus de 110 000 repas à environ 15 000 personnes, entre décembre 2020 et décembre 2021. Le succès de l’opération, qui a notamment permis d’aider près de 6 000 enfants, couplé à la recrudescence des besoins alimentaires en raison de la crise, ont poussé l’assureur à reconduire le projet.
Aujourd’hui, la société Celside souhaite distribuer 170 000 repas, en partenariat avec la Croix Rouge et le Secours Populaire. L’opération, qui vise à venir en aide aux personnes en situation d’urgence alimentaire, s’étendra sur un an (de mai 2022 à mai 2023) et prendra place dans les départements de la Drôme et de la Loire. Le groupe fera un don de 25 000 euros à 4 associations œuvrant à Romans-sur-Isère, pour un total de 100 000 euros.
La réalité de la précarité alimentaire en France
La précarité alimentaire est, de toute évidence, une conséquence directe de la pauvreté. Selon les chiffres publiés par l’Insee en 2019, plus de 9 millions de personnes en France vivent sous le seuil de pauvreté, ce qui représente près de 14% de la population ! Toujours selon l’Insee :
- 31% des étudiants et 7,6% des retraités vivent en dessous du seuil de pauvreté ;
- 1 enfant sur 5 vit dans une famille pauvre ;
- 33% des personnes qui vivent dans une famille monoparentale sont pauvres.
Ces chiffres, alarmants, expliquent sans doute le fait que 7 millions de personnes en France ont recours à l’aide alimentaire pour subsister. Un chiffre qui ne reflète sans doute pas l’ampleur des besoins réels, car il ne faut pas perdre de vue que la demande d’aide alimentaire est une démarche difficile, en plus d’être mal connue. Par ailleurs, une étude menée par la Drees (direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques des ministères sociaux) a révélé « une fréquentation accrue des centres de distribution dans les grandes villes les plus exposées à la pauvreté début 2021 ».